Frankenjura, il était une fois…
Le duc DELAPOUTRE en plein assault
Ce récit tente de retracer au plus près le voyage de deux chevaliers, qui lassés par les nombreuses croisades vers les terres de Castille et d’Aragon, prennent la route des pays barbares, bien au nord du royaume à la conquête des provinces du Frankenjura.
Première victoire...
Le 5ème jour du 10 ème mois de cette année la, nos 2 compères s’élance sur leur char à boeufs, avec des victuailles et des armes pour tenir une offensive contre les seigneus Bock, Simpson et autres chefs de guerres héritiers du roi Gullich.
Afin d’éviter les taxes des différents seigneurs ASF, ils choisissent les petites routes et de villages en villages remontent la longue vallée du Rhone. En ces temps de crise, le foin pour les bœufs se faire rare et cher, d’autant plus que les leurs sont un peu vieux et ne consomment que du Super sans blé 95.
Finalement, c’est dans la brume matinale que le Duc DELAPOUTRE et le comte DELARQUEE franchissent non sans quelques peines les derniers remparts du royaume.
un essai dans"Nightmare", secteur Eldorado
Les dialectes barbares sont des plus difficiles à comprendre, et rares sont les taverniers ou autres aubergistes qui daignent les renseigner sur la direction de la terre tant convoitée. C’est dans un vieux grimoire (qui leur coûtera 40 pièces d’or quand même) qu’ils finiront par trouver quelques cartes et autres indices pour se rendre au pied des châteaux.
Les premières murailles ne peuvent que rassurer nos deux conquérants au vu de leur faible hauteur comparé au château de Rodellar, récemment conquis au prix de lourdes pertes. Commencent alors 9 jours de siège, où tous les moyens sont bons pour parvenir à vaincre ces tours : accès en rappel, canne à pêche, courte échelle…
Heureusement, alors que nos deux vaillants chevaliers commencent à s’épuiser les poulies et les tendons, voila qu’arrive leur sauveur : le prince TABERNAC, chasseur d'ours et troubadour à travers le monde, venu droit de son Québec natal. Il leur sera d'une aide précieuse en particulier grâce à une nouvelle arme : le strap .
Si ca c'est pas un guerrier...
Ensemble, ils entameront de nouvelles découvertes, même si tout ca n’ « a aucun bon sens » comme le rappelle souvent le prince.
Durant ce voyage, leur char à bœufs, ainsi que leurs costumes interpellent souvent les milices locales, qui ne cessent de contrôler leurs titres de noblesse, ainsi que la présence d’herbes maléfiques dans les chargements.
Tous les soirs, on établit des plans de bataille, on discute de telle ou telle méthode, du prochain château à assiéger et du nombre d’assauts qu’il sera nécessaire de donner…
De jours en jours, les remparts tombent, les doigts de nos valeureux guerriers s’assèchent mais prennent de l’assurance quand au maniement des bi-doigts et autres pièges locaux. Le duc DELAPOUTRE essaye même de livrer bataille de nuit. En vain car la province semble s’étendre à n’en plus finir, et les 710 domaines que compte le Frankenjura narguent nos 3 compères.
Il est temps de rentrer au pays afin de venir en aide au duc DELARESI, qui s’attaque aux longs remparts du donjon de Saint Léger. Heureusement fort de ces expériences, nos 3 guerriers n’en feront qu’une bouchée.
Le duc DELARQUEE s’en est allé vers Massilia, le prince continue son voyage à travers le monde et le duc DELAPOUTRE a maintenant retrouvé son écurie et, perturbé par son voyage semble y développer une machine infernale : L’ « Acampusse borde »...